Le français suit.
Essential Work should not be Precarious Work: Workers speak up for better conditions during COVID-19 Pandemic
What: Press Conference (Zoom link available by request)
When: 10am Friday May 1st, 2020
Who: Coalition against Precarious Work
Jorge Frozzini, Community Organizer Immigrant Workers Centre
Charles, former Dollarama warehouse worker living in Montreal Nord
Andrew and his mother, meat processing plant worker
Eric, Current agricultural worker and Temporary Foreign Worker
Celina San Juan, precarious worker fighting for her status and access to the CERB
Jennifer, a caregiver who has recently reunited with her family just before the pandemic started in Quebec.
Montreal, May 1, 2020. As part of the May First International Labour Day celebrations, and as Quebec prepares to slowly reopen the economy, the Immigrant Workers Centre has brought together workers to express their solidarity and to share their experiences of precarious work.
The group claims that workers providing essential services to all the people of Quebec should stand together in solidarity. “We work as caregivers, cleaners, we process and prepare food, we drive goods, we distribute goods, we are cashiers in stores… Our work should have value now and after this pandemic,” the group said.
Le travail essentiel ne doit pas être un travail précaire : les travailleurs s’expriment en faveur de meilleures conditions de travail durant la pandémie de COVID-19
Quoi: Conférence de presse (Lien vers la diffusion Zoom disponible sur demande)
Quand : le vendredi 1er mai 2020 à 10h
Qui : Coalition contre le travail précaire
Jorge Frozzini, organisateur communautaire du Centre des travailleurs immigrants
Charles, ancien travailleur de l’entrepôt de Dollarama vivant à Montréal-Nord
Andrew et sa mère, employée d’une usine de transformation de viande
Éric, travailleur étranger temporaire dans le domaine agricole
Celina San Juan, travailleuse précaire qui se bat pour la régularisation de son statut ainsi que pour l’accès au PCU
Jennifer, une aide familiale qui a récemment retrouvé sa famille juste avant le début de la pandémie au Québec
Montréal, le 1er mai 2020. Dans le cadre de la Journée internationale des travailleurs et travailleuses du 1er mai, et alors que le Québec se prépare à rouvrir progressivement l’économie, le Centre des travailleurs immigrants a réuni des travailleur-euse-s désirant exprimer leur solidarité et partager leurs expériences de travail précaire.
Le groupe affirme que les travailleur-euse-s fournissant des services essentiels à la population du Québec devraient être solidaires les uns des autres. « Nous travaillons comme aide-soignants, nettoyeurs, nous transformons et préparons la nourriture, nous conduisons des marchandises, nous distribuons des biens, nous sommes caissiers dans les magasins… Notre travail devrait être revalorisé dès maintenant et le demeurer après la pandémie », affirme le groupe.
À ce sujet, Mostafa Henaway du CTI déclare : « Ces travailleurs et travailleuses sont confrontés à la précarité parce qu’ils travaillent par l’intermédiaire d’agences de placement, parce qu’ils font face à des violations des normes du travail, ou encore parce que leurs employeurs ne respectent pas les directives établies pour les protéger durant la pandémie.»
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